Compétence universelle Cartographie des dossiers en France

Le maréchal Khalifa H. est nommé commandant en chef de l’Armée nationale libyenne (ANL) le 2 mars 2015. L’ANL est une armée non internationalement reconnue qui mène des combats sur le territoire libyen en dépit du processus de paix amorcé depuis l’accord et le cessez-le-feu adopté en juillet 2017.

Au printemps 2014, Khalifa H. et l’ANL lancent « l’opération Dignité », visant à reprendre la ville de Benghazi.

Dans ce cadre, Khalifa H. aurait ordonné l’attaque d’une famille, qu’il aurait arbitrairement arrêtée et torturée pendant trois semaines.

Entre 2016 et mars 2017, l’ANL est soupçonnée d’avoir commis des crimes lors de l’occupation de la ville de Benghazi. Khalifa H. est accusé d’avoir lancé une campagne de bombardements sans cibles précises, ainsi que d’avoir participé à des meurtres et des disparitions forcées dans les quartiers d’Al-Laitti, Bu-Atni et Ganfouda, où de nombreux civils avaient trouvé refuge.

Amnesty International France rappelle que toute personne est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.

Il est reproché à la société Amesys d’avoir vendu en 2007 du matériel de cybersurveillance au gouvernement lybien dans l’objectif d’intercepter et d’analyser des communications.

Cette technologie aurait permis au régime de Mouammar Kadhafi (1969-2011) d’identifier, d’arrêter et torturer des journalistes, des militants des droits humains, ou tout opposant au régime.

Amnesty International France rappelle que toute personne est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.

Le maréchal Khalifa Belqasim H. a été nommé commandant en chef de l’Armée nationale libyenne (ANL) le 2 mars 2015. L’ANL est une armée non internationalement reconnue qui mène des combats sur le territoire libyen en dépit du processus de paix amorcé depuis l’accord et le cessez-le-feu adopté en juillet 2017.

Au printemps 2014, Khalifa H. et l’ANL lancent « l’opération Dignité », visant à reprendre la ville de Benghazi.

Dans ce cadre, Khalifa H. aurait ordonné l’attaque d’une famille qu’il aurait arbitrairement arrêtée et torturée pendant trois semaines.

Entre 2016 et mars 2017, l’ANL est soupçonnée d’avoir commis des crimes lors de l’occupation de la ville de Benghazi.

Khalifa H. est accusé d’avoir lancé une campagne de bombardements sans cibles précises, ainsi que d’avoir participé à des meurtres et des disparitions forcées dans les quartiers d’Al-Laitti, Bu-Atni et Ganfouda, où de nombreux civils avaient trouvé refuge.

Amnesty International France rappelle que toute personne est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.