Il est reproché à la société Amesys d’avoir vendu en 2007 du matériel de cybersurveillance au gouvernement lybien dans l’objectif d’intercepter et d’analyser des communications.
Cette technologie aurait permis au régime de Mouammar Kadhafi (1969-2011) d’identifier, d’arrêter et torturer des journalistes, des militants des droits humains, ou tout opposant au régime.
Amnesty International France rappelle que toute personne est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.