Mohammed B.Z., président des Émirats arabes unis, serait complice d’actes de torture commis dans les centres de détention contrôlés par les forces armées émiraties.
Il aurait également participé aux blessures ou la mort de civils causées par des bombardements survenus lors de funérailles à Sanaa fin 2016, bombardements imputés aux forces de la coalition à laquelle participe Abou Dhabi.
Amnesty International France rappelle que toute personne est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.