Officier de l’armée syrienne, Sami K. a fait défection en février 2012. C’est l’un des premiers officiers à dénoncer la répression de la révolte par le régime de Damas et à rejoindre l’Armée syrienne libre (ASL), dont il devient un des porte-paroles.
Il quitte le pays en 2013 et s’installe en France, où il dépose une demande d’asile.
Amnesty International France rappelle que toute personne est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.